Il était une fois, une utopie appelée « Poil à Gratter ! »
Nous ne sommes que trois à la barre,
et le défi est prodigieux…
Le rêve ultime pour Ugo, Pascal et Sylvain ainsi que nos cinquante premiers abonnés, c’est que le journal « Poil à Gratter ! » devienne le plus énorme projet de presse participative en France.
Que « Poil à Gratter ! » soit distribué gratuitement à la population à des Millions d’exemplaires en moins de deux ans.
Certains journaux de propagande le font à coup de subventions et d’intelligences avec des puissances financières, et d’autres feuilles de choux tentent de prêcher la bonne parole comme elles le peuvent.
Si l’on est réaliste et que l’on étudie la question avec un raisonnement d’entrepreneur, une étude de marché nous apprendra bien vite que la presse gratuite est capable d’être indépendante des subventions et dépendante de ses lecteurs du point de vue éditorial. En outre, ce mode de distribution (et non d’achat choisi) permet à la population de s’informer passivement en matière de géopolitique, d’économie et de démocratie. Et évidemment, ce n’est pas dans « Poil à Gratter ! » que l’on pourra lire les slogans débilitants des euro-atlantistes sur l’état du monde et de notre pays aujourd’hui.
Nous voulons libérer la parole des Français un peu conscients de l’état de notre pays enclavé dans l’Union européenne, dans l’euro et l’OTAN, et veiller à ce que la réelle opinion du peuple s’arrache à la Toile et rende un peu de notre culture politique au citoyen de la rue.
C’est une Urgence démocratique. Nunuche tient absolument à nous envoyer en guerre avec la Russie et le combat juridique à mener pour le faire destituer est un autre immense chantier à mettre en oeuvre.
C’est un parti pris qui m’est personnel mais que je peux justifier par le Droit : François Hollande est un traître au sens des articles 411-1 à 411-10 du Code Pénal en se rendant coupable d’« intelligences avec des puissances étrangères » sur au moins deux affaires d’Etat. Nous en reparlerons sur « Poil à Gratter ! »…
Avec « la lettre au Président » à découper et envoyer dans chaque numéro, c’est un combat judiciaire et populaire que nous souhaitons initier. Si une presse gratuite donne les moyens à ses lecteurs d’engueuler vertement Normal 1er par une simple lettre prête à poster à détacher du journal, c’est le cœur des Français qui voudront nous soutenir à Bordeaux et ailleurs en France que nous espérons conquérir. Car chacun de nos lecteurs pourra reprendre un court instant, un peu la main sur la destinée de notre Pays. « Poil à Gratter ! » prétend donner un peu de courage aux Français en leur démontrant qu’une révolution pacifique et apaisée est possible et qu’il suffit de nous en donner les moyens humains et financiers.
Pour viabiliser économiquement « Poil à Gratter ! » nous devons tisser des partenariats commerciaux intelligents.
Nous voulons que des petits commerçants vendant des lunettes astronomiques ; des livres ; des légumes bio, des yourtes et des voiliers ; des jeux de société ; des accessoires de magie et tant d’autres choses pour nous enrichir de connaissances nouvelles et enjoliver nos vies ; soient nos partenaires privilégiés.
Nous souhaitons aussi valoriser les entreprises qui s’engagent dans la voie solidaire et sociale, ou qui subventionnent des associations, entreprennent de se constituer en Scoop, et au final donnent une idée plus humaine et positive de l’économie, et démontrent qu’un autre Monde est possible avec l’entrepreneuriat.
« Poil à Gratter ! » nous le revendiquons est un projet entrepreneurial visant à créer une Scoop pouvant donner du boulot à des milliers de Français en plus de bénéfices partagés. L’indépendance sera garantie par l’évolution du site internet poilagratter.info, puisque c’est un site collaboratif. Une partie du contenu qui nous est soumis sur la version en ligne de « Poil à Gratter ! » par vos contributions, assure la ligne éditoriale de la formule papier que nous souhaitons distribuer à 10.000 exemplaires sur Bordeaux rapidement.
Pour cela, le confort pour payer un salaire de 1500 euros et imprimer un tirage de 10.000 exemplaires, c’est environ 5000 euros de recettes à dégager chaque mois. Pour un commerçant cherchant à se faire connaître, un journal gratuit garantit une visibilité de meilleure qualité qu’un journal payant. Le lectorat de la rue étant très diversifié par nature. Si en plus le journal est alternatif dans les idéaux démocratiques défendus, associer son image à celle de « Poil à Gratter ! », c’est affirmer des convictions communes sur l’économie solidaire et participative.
« Poil à Gratter ! » a donc la vocation a faire la synergie entre la nécessité du volume, avec l’exigence de la qualité éditoriale pour se démarquer de ses autres « concurrents » gratuits. En effet, nous souhaitons évoluer en hebdomadaire à terme, ce qui signifie que nos nécessités logistiques, rédactionnelles seront rationalisées, et nous libéreront du temps de cerveau disponible pour faire sa fête à Coca Cola. Cela contrairement aux quotidiens délivrés chaque matin dans les stations de transports en commun, où les informations traitent de « l’actualité » au moyen de brèves Afp et d’absence d’analyses de fond sur les troubles que nous affrontons.
Nous devons vivre de la pub c’est vrai, et le commerce de proximité peut aussi améliorer ses ventes avec une communication intelligente. Au final, si tout le monde va bien économiquement, il devient plus facile de financer d’autres projets qui méritent leurs chances pour tous changer. Nous devons aussi donner à la pub sa juste place car le martelage visant à vendre un engrais Monsanto ne suffira pas à instaurer une image humaniste à cette entreprise.
Puisqu’un journal, c’est la revendication d’une qualité éditoriale, la revendication doit être la même sur la publicité. Elle doit valoriser les entreprises réellement tournées vers l’humain et la connaissance. Contrairement à un gratuit traditionnel, « Poil à Gratter ! » ne louera pas la moitié de sa pagination à la publicité, mais seulement un tiers. Ce que les espaces publicitaires loués financent dans notre journal, ce sont de réels dossiers de fonds sur des sujets importants. Ce que les abonnés du journal financent, c’est l’indépendance de « Poil à Gratter ! ». A l’échelle d’un commerçant, d’un artisan ou d’une petite P.M.E, on est pas forcément du côté des 1 % de salauds qui pillent le Monde. Mais de la même façon, nous ne disposons pas des mêmes budgets que les multinationales. Cependant, même avec moins, nous pouvons donner de l’âme et du cœur à la Presse et reconquérir notre Souveraineté collective.
Voici donc un petit projet publicitaire pour une entreprise qui existe réellement. C’est de la qualité « paint« , mais Pascal notre infographiste turbine déjà sur le prochain numéro. Donc vous devrez juger avec toute l’indulgence possible de mes « talents » de graphiste et de communiquant. Dans une autre vie, j’étais chauffeur routier, et cela fait quelques mois que je suis apprenti journaliste, commercial et révolutionnaire assumé en même temps.
Le mois prochain, nous allons publier un sujet sur l’Espace, je ne puis en dire plus pour le moment, mais à cette occasion cela pourrait permettre de jeter la focale sur l’astronomie à des lecteurs qui nourrissent peut-être un jour le projet d’apprendre à pointer un corps céleste et suivre sa course dans le ciel avec une lunette astronomique.
Pensez vous qu’une telle publicité soit acceptable, dans le sens où elle ne soit ni trop racoleuse, ni trop invisible, ni assez pertinente sur le type de bien ou service vendu par rapport à des exigences culturelles à véhiculer ?
De même cet autre petit projet publicitaire pourrait permettre après un article expliquant le problème des dettes souveraines et des bulles financières au lecteur, d’évoquer une solution d’épargne intelligente :
Au moment de la publication de ce billet, aucun des deux commerçants n’a été contacté, mais j’envisage bien de prendre ma casquette de « commercial » et réussir à les motiver quant à soutenir notre journal.
C’est votre avis de lecteurs avertis, conscients des contraintes de la presse et en même temps exigeants sur les alternatives proposés, qu’il revient de juger du type de publicité que « Poil à Gratter ! » peut faire ou non.
« Poil à Gratter ! » compte en tout cas sur vous tous pour en faire le journal d’un peuple en sécession avec ce système oligarchique.
En comptant sur votre soutien à vous !
Sylvain Baron
En tant que citoyen, il est de notre de devoir de refuser les idées limitées et orientées de notre système médiatique. Poil à Gratter est bien plus qu’un journal, c’est une révolution de la presse et une libération des idées !