L’équipe

Les éditions de l’Ormée, c’est un noyau dur de six personnes pour le moment, avec de nombreuses petites mains qui gravitent autour du journal pour le faire vivre :

DSC_8988Ugo Ledoux

Co-fondateur du journal, Ugo est diplômé d’une licence en management (Business Management School) et s’est actuellement engagé vers une licence en psychologie à l’Université de Bordeaux. Âgé de 22 ans, Ugo s’est très tôt posé des questions sur la réalité du projet européen et le fonctionnement du système financier international, tout en nourrissant un intérêt marqué pour les thématiques plus propres à la spiritualité ou la psychologie. « Poil à Gratter ! » représente pour Ugo la possibilité de démontrer qu’un beau projet entrepreneurial, peut permettre d’éveiller un jour des millions de consciences sur des sujets importants, créer des emplois et établir une presse réellement sous contrôle des citoyens sur des perspectives de plus long terme.

guitare2Sylvain Baron

L’autre co-fondateur du journal, Sylvain après avoir interrompu des études le menant vers les métiers de l’agro-foresterie, a longtemps travaillé en tant que conducteur routier. Depuis sa prime jeunesse, Sylvain s’intéresse aux questions écologiques et énergétiques. Thématiques qui ont finit par le conduire à s’intéresser aux institutions européennes. A 35 ans aujourd’hui, Sylvain est désormais un activiste s’étant spécialisé sur le droit de résistance à l’oppression tant en matières juridiques que techniques, et poursuit l’utopie de contribuer un jour à une révolution pacifique avec des Millions d’autres Français voulant mettre un terme à leur servitude à des puissances étrangères. « Poil à Gratter ! » représente un « outil » permettant de nourrir la Résistance de nouvelles consciences de la même façon que le journal du père Duschesne, Iskra, la Prada ou Libération émancipaient des peuples en d’autres époques.

pascalPascal Pouvereau

Pascal est l’infographiste principal du journal « Poil à Gratter ! ».

Considéré comme « le scientifique » de la famille d’artistes dont il est issu, ses dispositions le mènent à des études d’optique instrumentale puis d’arts appliqués. Il se spécialise finalement dans la création de jeux-vidéo, synthèse de ses deux domaines de prédilection : la création et la technique ; il ne délaisse pas pour autant les autres domaines artistiques en continuant le dessin et en développant en autodidacte d’autres savoir-faire tels que la création web.

Mais ce n’est qu’en 2009 que Pascal s’éveille réellement sur le monde qui l’entoure en découvrant notamment l’escroquerie de l’argent-dette. Il rattrape alors le temps perdu en se programmant, par le biais de la presse alternative sur internet, une initiation accélérée à de très nombreux sujets qu’il découvre avec vivacité. C’est une fois bien rôdé qu’il souhaite sortir de la passivité en proposant humblement ses compétences au « mouvement pour la vérité », ces nouvelles élites émergentes au sein du peuple dénonçant les abus du système et proposant des solutions alternatives.

Ses premiers travaux « citoyens » se font aux côtés de l’UPR sous la forme de tracts et d’affiches. C’est justement en s’intéressant à ces questions tournant autour de l’Union européenne mais également de l’écologie ou de la citoyenneté qu’il découvrira Sylvain Baron et son idée de journal « du peuple pour le peuple » visant à instruire un public ignorant sur ces questions majeures.

Le contact se fera finalement un peu par hasard mais Sylvain, faisant bien les choses, guide maintenant Pascal sur une nouvelle voie dans laquelle il tient un rôle de maquettiste chez « Poil à Gratter ! »… et l’aventure ne fait que commencer !


JuliaJulia Dauly

Julia est correctrice du journal « Poil à Gratter ! ».

Révoltée dans l’âme, impatiente et lassée d’un milieu scolaire uniforme où elle ne parvient à trouver sa place, elle décide d’abandonner les études littéraires auxquelles elle se destinait, à l’âge de seize ans, pour intégrer une école de théâtre. Assoiffée d’indépendance, elle multiplie les petits boulots en parallèle et ne tarde pas à être écœurée (t’es rebelle ou tu l’es pas) des méthodes employées par certains « agents artistiques » et de l’arnaque que constitue son école. Ayant pris goût au milieu du travail, elle décide de gagner sa vie pour s’échapper au plus vite du giron maternel, tout en s’adonnant à ses passions de toujours : la musique et l’écriture.

De l’accueil en restauration à la gestion de SCPI dans une filiale de la BNP, elle se fraye alors un chemin tranquille vers l’assurance vieillesse.

Deux ans après la naissance de son premier enfant, elle est embauchée comme Assistante de direction (comprendre femme-à-tout-faire, responsable RH, assistante d’édition, correctrice, gestionnaire des achats et bébé phoque) chez les Humanoïdes Associés, (ex-)célèbre maison d’édition de bandes dessinées. Elle sera remerciée deux ans plus tard, l’entreprise se débattant pour rester à flot, après un plan social et plusieurs années de redressement judiciaire (c’est la crise, t’as vu).

Mettant à profit ses quelques mois de chômage (elle cotise depuis dix ans déjà, faut bien que ça paye), elle donne naissance à son deuxième enfant. En bonne mère au foyer, elle passe ses journées sur internet (la télé, c’est pour les moutons pas révoltés) entre deux couches sales et c’est ainsi qu’elle découvre les conférences de François Asselineau. Son sang de rebelle-de-la-vie-dégoûtée-de-la-politique ne fait qu’un tour. Elle passera alors encore plus de temps sur internet, entre textes de loi, traités, archives de la BNF et de la CIA, conférences d’Étienne Chouard, François Asselineau et Franck Lepage, pour finalement adhérer à l’UPR au printemps 2012.

Cependant, abstentionniste militante, elle demeure convaincue que le renversement du système mortifère qui emprisonne ses semblables n’émergera pas des urnes. C’est dans cet esprit qu’elle se rapproche peu à peu de Sylvain Baron, créateur originel de « Poil à Gratter ! », dont elle apprécie (pour ne pas dire « admire ») l’engagement, la ferveur résistante et les écrits pertinents et impétueux. Voulant à tout prix prendre part à cette révolution en marche, elle s’abonne rapidement à « Poil à Gratter ! » et se met à tamponner frénétiquement tous ses billets européens du sceau « Francs ». À la lecture du premier journal reçu, les coquilles qu’elle y trouve et qui titillent son amour inconditionnel du français l’appellent comme les sirènes dans Pirates des Caraïbes. Ni une ni deux, elle propose ses services de correctrice (ben ouais, c’était un peu son métier, si t’as tout suivi) à la rédaction du journal qui accepte volontiers son offre (après avoir observé la qualité du travail fourni, quand même, faut pas déconner).

Depuis, elle nage dans le bonheur, les couches de son troisième enfant (si, si) et les fautes d’ortografe. La résistance est en marche et elle en est, son âme de rebelle est comblée.

MaylisMaylis

Maylis est graphiste communicante pour « Poil à Gratter ! ».

Malgré l’annonce de la réussite du clonage d’embryons humains par manipulation génétique, l’entrée en vigueur du marché unique européen, l’arrestation du numéro un de la mafia sicilienne, la mort du grand Zavatta et « All that she wants » au top 50 en cette année 1993, Maylis arrive à l’heure du goûter le 2 Juillet !

Motivée et optimiste dès son plus jeune âge, vers treize ans elle annonce à sa famille qu’elle compte ouvrir une boulangerie avec sa cousine mais revoit ses espoirs à la baisse en reconsidérant l’idée d’un partenariat familial, sachant que pour faire du profit, il est recommandé de ne pas s’empiffrer de toutes les créations pâtissières…

Après cette amère déception, elle suit un parcours scolaire dit « bateau » (c’est cela que d’habiter près de l’océan…), tout en écrivant chaque soir sur les différentes expérimentations que lui offre la vie, comme l’étude de sa propre famille ou celle de la bête humaine en général. Et puis, le besoin de s’exprimer se faisant de plus en plus fort, viennent le dessin, la sculpture et autres manipulations artistiques. En 2012, lors de son année sabbatique à Bordeaux, elle rencontre des étudiants venant de différents horizons, ayant tous du sang de révoltés et pour le coup tous deviennent amis ! Certains ensuite la conduisent vers les créateurs d’Orny et le mariage est prononcé !

Autodidacte, après l’obtention d’un BTS Communication dans le Béarn en 2014, elle commence à apprendre les tenants et aboutissants du travail laborieux de graphiste et se fait adopter par « Poil à Gratter ! » pour son sérieux et son travail méthodique.

Aujourd’hui, jeune passionnée d’Art en tout genre, épicurienne affranchie, elle s’est envolée depuis peu à destination d’un éco-village de renommée mondiale au pays de la glace et du feu peuplé par les Vikings, la ténébreuse Islande !

Les bios de Karen et D’joe vont bientôt apparaître